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Uchiha Sasuke
Chef de Taka
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Uchiha Sasuke


Masculin Message : 32
Age : 29
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Formulaire ninja
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MessageSujet: Test pour tester une mise en page   Test pour tester une mise en page Icon_minitimeVen 20 Jan - 17:26


Chapitre 1: Début d'auteur


    52ème jour de la 436ème année du monde Shinobi

    Cher Journal, et bien pour commencer, je n’aime pas cette habituelle expression « Cher Journal ». Aujourd’hui, c’est la première fois que j’écris. Pourquoi, ai-je décidé d’écrire ? Parce que j’ai envie de laisser une trace dans ce monde, même une fois mort. Mais l’origine de mon envie d’écrire date de plus loin. Tout d’abord, je vais te résumer ma vie, tu comprendras mieux pourquoi j’ai décidé d’écrire. Je vais devoir te chercher un nom, ce « Cher Journal » m’ennuie vraiment.


Chapitre 2 : Le bonheur est une habitude à cultiver


    53ème jour de la 436ème année du monde Shinobi

    Cher Journal, je n’ai toujours pas trouvé de nom à te donner, mais comme promis, je vais te résumer le début de ma vie jusqu’à aujourd’hui.Je ne me souviens plus vraiment où je suis né exactement, mais je me souviens seulement que le temps était agréablement chaud et que c’était dans une forêt. La maison dans laquelle je vivais était assez modeste, faite en bois des arbres taillés dans la forêt.

    Le souvenir le plus lointain que j’ai est celui de ma mère, Kikori, me souriant à table. Mon père, Ryoushi, était un chasseur, il partait à la chasse tous les jours, un peu avant l’heure du diner. Ma mère, qui dans mes souvenirs était très belle, me donnait des cours sur plusieurs domaines, que ce soit dans les maths ou dans la botanique, mais bien sûr, de manière très général. J’allais également couper du bois avec elle - sauf que c’était plutôt ramasser les branches que je faisais - .

    Jusqu’à mes huit ans, nous allions donc « couper du bois » chaque jour et ensuite Maman m’apprenait quelques petites choses dans plusieurs domaines. J’ai bien dit : « Jusqu’à mes huit ans ». Le jour de mon huitième anniversaire, mon père m’a dit « Aujourd’hui, tu viens chasser avec moi ! », j’étais heureux, je lui demandais ça depuis plusieurs années déjà, lorsqu’il me l’eut annoncé, je me suis sentit devenir un homme.

    Désolé, mais c’est tout pour aujourd’hui, je commence à avoir mal au poignet et à manquer d’encre, demain il faudra que j’aille en acheter !


Chapitre 3 : Au feu, au feu bergère !


    54ème jour de la 436ème année du monde Shinobi

    Salutations Shouzôku ! Eh oui, je t’ai enfin trouvé un nom ! Je me demande si les parents ont autant de mal à trouver un nom pour leurs enfants… Allez, je pense savoir ce que tu attends, la suite de ma vie !

    Nous étions donc le jour de mon huitième anniversaire, mon père m’avait fièrement annoncé que j’allais enfin pouvoir apprendre à chasser avec lui.
    Pendant plusieurs semaines, j’allais donc chasser avec mon père tous les jours, et quand je rentrais, ma mère me donnait cours, toujours dans plusieurs domaines, mais depuis peu, elle m’apprenait surtout la biologie. Sans doute pour savoir où il était préférable de viser pour que la bête ne souffre pas et pour ne pas abîmer la viande et d’autres choses comme ce que font les garçons et les filles quand ils sont plus âgés, alors comme ça on ne naît pas dans les choux ? (*Rire*)

    Mais c’est également pendant cette période, où je me sentais devenir un homme, que s’est déroulée la pire de mes journées. Cela devait être un Jeudi… ou un Vendredi ? Un Vendredi je pense, Maman nous préparait du lapin avec une recette que seule elle connaissait, c’était délicieux ! Donc c’était un Vendredi et Maman étant à la cuisine lorsque que nous étions partis chasser, mon père et moi.

    Ce jour là, mon père m’avait prêté son arbalète, mon père m’avait dit : « Aujourd’hui, c’est toi qui nous ramène notre diner de demain. » J’avais aperçu une biche, je m’approchais d’elle, la poitrine gonflée, le cœur battant plus fort à chaque pas, respirant le moins possible, faisant attention où je mettais chaque pieds et le cou de la biche en ligne de mire. Je m’approchais de plus en plus, j’étais prêt à tirer, il ne manquait plus que quelques pas sous les yeux attentifs de mon père, et la biche pourrait se reposer. Mais je fus déconcentré, je sentis soudain une odeur, l’odeur du feu de bois, mais pas un petit feu de bois, comme un feu de cheminé ou un feu de camp où on ferait cuire le poisson, non, c’était plutôt comme si je me trouvais dans un feu de forêt, prisonnier des flammes. Cette distraction me fit marcher sur une brindille, ce qui alerta la biche et la fit fuir.

    Ayant fait fuir la bête, je me retournai vers mon père, déçu de moi, mais j’aperçu… qu’il n’était plus là. De suite, je me mis à courir vers la maison, cette maison faite en grande majorité de bois. J’avais peur, jamais je ne m’étais vraiment retrouvé seul et cette odeur qui n’annonçait rien de bon…

    Lorsque j’arrivai à l’extrémité de la clairière, j’aperçu mon père me faisant signe de me taire, je vis avec horreur ce dont j’aurais dû me rendre compte bien plus tôt, notre maison était en feu. Soudain, il me poussa en arrière et se lança à sur la maison en proie aux flammes. Lors de mon recul, je trébuchai et me cogna la tête contre un tronc d’arbre, j’étais évanoui en position assise.

    Woahhh, je n’avais pas vu l’heure, j’étais pris dans ma propre histoire ! Eh bien, il est temps que j’aille dormir et puis, j’arrive en bout de page, à demain.


Dernière édition par Uchiha Sasuke le Dim 22 Jan - 18:13, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Test pour tester une mise en page   Test pour tester une mise en page Icon_minitimeDim 22 Jan - 18:12


Chapitre 4 : On n’échappe à rien, pas même à ses fuites.


    55ème jour de la 436ème année du monde Shinobi

    Bonsoir Shouzôku, aujourd’hui j’ai passé une plutôt bonne journée, enfin, une journée simple et tranquille, comme d’habitude. Je crois qu’on est repartit pour la suite de mon histoire. Donc on était au moment où je me suis évanoui contre un arbre.

    Lorsque je me suis réveillé, la maison avait déjà finie de brûler, il n’en restait que des poutres carbonisées et des cendres. Je m’approchai pour voir quelque chose, j’aperçu deux corps, tous les deux consumés par les flammes, un moins que l’autre mais avec un poignard en métal noir et avec une forme assez particulière –aujourd’hui je sais que cela s’appelle un Kunaï -. Sans avoir fait d’étude en médecine, il aurait été impossible de discerner le sexe des deux cadavres. Cadavres qui étaient ceux de mes parents…

    Après avoir pleuré plusieurs en leur compagnie, j’ai décidé de les enterrés, proche de la maison. Plus tard, j’ai été cherché des fleurs pour les poser sur leurs tombes.Je serais bien resté dans cette clairière, mais je n’avais pas suffisamment de force pour reconstruire la maison, rien ne me disait que j’aurais pût survivre et la solitude m’effrayait. Il me fallait donc quitter cet endroit où je me sentais si bien…

    Je pris l’arbalète qui était resté là où je m’étais évanoui, près de l’arbre où j’ai tout et perdu. J’entrepris un voyage, à la recherche d’un village, d’un foyer… Mon voyage dura plusieurs jours. Lorsque j’ai traversé la forêt, je dormais très peu la nuit, je chassais le jour tout en essayant de sortir de cette forêt. Cette forêt eut l’avantage d’aiguiser un peu mes sens. Lorsque j’en fus enfin sorti, je venais d’entrer dans un immense désert rocheux, tout ce qu’on pouvait voir au loin n’était que la sécheresse… Je regrettais déjà la forêt. Je retournai dans la forêt pour boire et récupérer des bois, il me fallait du feu pour la nuit.

    Je parcouru donc le désert qui me recélait bien des surprises. N’ayant croisé aucun animal durant la marche que je venais de faire, je décidai de me reposer dans une grotte que je voyais à plusieurs dizaines de mètres. Lorsque je fus arrivé dans la grotte, j’ai eu un étrange surprise, un autre cadavre appuyé contre un mur de la grotte, des pierres qui formaient un feu de camp, mais ce qui m’eut le plus marqué, et qui me marquera certainement le reste de ma vie : à ses côtés se trouvaient deux objets, le premier était un journal intime, qui racontait toute sa vie, de ses 5 ans jusqu’à comment il était arrivé dans cette grotte. Bien évidemment je n’avais pas tout lu, je n’avais lu que la première et dernière page, depuis j’en lis quelques-unes chaque jour.

    L’autre objet qui était à ses côtés, était une épée, une épée dont la lame faisait environ un mètre cinquante, faite en argent et avait une forme courbée. Le manche, lui, était une de la couleur du sable brillant au soleil et était incrusté d’émeraude, le genre d’épées qu’on ne voit que dans les livres. En mourant, cet homme, m’avait donné une protection, et je lui en suis redevable. Lorsque la nuit tomba, j’allumai un feu de camp avec le bois que j’avais ramassé plus tôt, je fis cuire de la viande et lu quelques pages du journal intime, ensuite je m’endormis.
    Je vais m’arrêter là aujourd’hui, je commence à être fatiguer.



Chapitre 5: Iwagakure no Sato


    56ème jour de la 436ème année du monde Shinobi

    Bonjour Shouzôku, Eh oui, aujourd’hui j’écris tôt. Je préfère réserver la lecture au soir désormais, je serai mieux pour dormir. Je ne pensais pas qu’écrire me ferait autant de bien, j’ai presque envie de faire ça toute la journée, mais ça ne serait pas raisonnable… Donc, reprenons notre histoire. On en était au moment où je m’endors dans la grotte si je me souviens bien.

    Le lendemain matin, lorsque je me suis réveillé, la première chose à laquelle j’ai pensé immédiatement à enterrer le cadavre, mais creuser de la roche avec mes mains n’aurait pas été chose facile. Je lui ai donc juste murmuré « Repose en paix, mon ami », mais avant de le quitter je remarquai qu’il portait un étrange et beau bijou autour du cou, une amulette dont la matière ressemblait fortement à celle du manche de l’épée. Je l’ai pris avec moi et je le porte toujours actuellement.

    Mes provisions ayant diminués, je devais faire vite pour quitter ce désert, il faisait trop chaud pour que je puisse tenir encore longtemps, contrairement à dans la grotte, où la température était idéale. Au bout de plusieurs jours, je n’avais plus de provisions, juste mon sac, mon arbalète, l’épée que j’avais trouvé dans la grotte, et le journal intime. J’avais faim et soif et après quelques heures de marche qui me semblait infinies, je pouvais enfin apercevoir un village, à un kilomètre, peut-être, de ma position, mais j’étais à bout de force, je m’évanoui.

    Lorsque je me réveillai, j’étais dans un lit, dans une pièce où la chaleur était la plus agréable, ni chaud, ni froid, je ne me sentais plus déshydrater, à croire que j’avais bu pendant mon sommeil. Je me relevai pour être en position assise sur le lit dans lequel je me trouvais et je remarquai que j’étais torse nu. Soudain, j’entendu quelqu’un entrer dans la pièce, c’était une grande femme, très belle et aux cheveux longs, la vingtaine peut-être. Elle m’apportait de l’eau et de la nourriture et m’a conseillé de rester encore un peu. Je mangeai ce qu’elle m’avait apporté, et la remercia, ensuite je lui ai posé une question à laquelle la réponse était quasiment évidente, « Vous m’avez sauvé ? » elle acquiesça d’un signe de la tête, elle s’appelle Rukia.

    La maison était charmante et presque uniquement composée de pierre, de jolis meubles avec certaines esquisses dessinées dessus était établit tout autour de chaque pièce. Elle m’a hébergé, et m’héberge encore aujourd’hui.

    Le lendemain,
    Rukia me fit visiter la ville, elle me montra tous les bâtiments importants à connaître, les commerces, le palais du Tsuchikage, l’académie ninja, etc. J’ai remarquai deux choses, la première était que je ne savais pas qui était ‘’Tsuchikage’’ et qu’est-ce c’était que des ninjas, j’avais vécu tellement loin de ça. La deuxième était que la ville était en piteux état, bien qu’on pouvait facilement deviner de très belles architecture et recollant les morceaux.

    Lorsque l’ont fut rentré de la visite, elle répondit à toutes mes questions, qu’est-ce qu’un ninja, le Tsuchikage est le ninja le plus fort du village, et l’état de la ville est dû à une guerre civile qui vient tout juste de terminer. Ce monde peut réserver bien des surprises, quelques semaines auparavant, j’aurais pu avoir peur avec un sanglier, maintenant, j’ai peur à presque chaque coin de rue. Elle m’a également autre chose qui m’a frappé, un Kunaï… l’arme basique des Shinobis, mes parents auraient donc été tués par un ou des ninjas…

    Voilà, désormais tu en sais presque autant que moi sur ma vie, mais là, je dois m’arrêter d’écrire. Il faut que je me prépare, demain je rentre à l’académie ninja !




Chapitre 6 : Le début de la fin


    57ème jour de la 439ème année du monde Shinobi

    Hey hey Shouzôku, aujourd’hui c’est officiel, cela fait quelques jours que je te bassine avec ça mais aujourd’hui c’est vrai de vrai, je suis enfin un ninja, ‘fin un aspirant ninja, tout à l’heure je reçois mon bandeau et demain je rencontre mon Sensei ! Je suis tellement heureux. Mais mes premières récompenses, je devrai lui donner, je lui dois tellement, cela fait trois ans qu’elle m’héberge, qu’elle me nourrit et qu’elle m’aide, sans elle je ne serais même peut-être plus en vie, aujourd’hui, je la considère presque comme ma mère.

    Je suis si impatient de rencontrer mon Sensei et de faire mes premières missions. J’en peux plus d’attendre !
    Allez bye, je te réécris demain, il faut que j’aille me préparer à recevoir mon bandeau de ninja, je deviendrai le Shinobi le plus fort au monde !

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